« L’homme, le souci de l’humain, au centre », autour de Marc 2, 23 à 3, 6 par le pasteur Jean-François Breyne
Marc 2, 23 à 3, 6
2 : 23 Or Jésus, un jour de sabbat, passait à travers des champs de blé et ses disciples se mirent, chemin faisant, à arracher des épis. 24 Les Pharisiens lui disaient : « Regarde ce qu’ils font le jour du sabbat ! Ce n’est pas permis. » 25 Et il leur dit : « Vous n’avez donc jamais lu ce qu’a fait David lorsqu’il s’est trouvé dans le besoin et qu’il a eu faim, lui et ses compagnons, 26 comment, au temps du grand prêtre Abiatar, il est entré dans la maison de Dieu, a mangé les pains de l’offrande que personne n’a le droit de manger, sauf les prêtres, et en a donné aussi à ceux qui étaient avec lui ? » 27 Et il leur disait : « Le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat, 28de sorte que le Fils de l’homme est maître même du sabbat. »
3 : 1 Il entra de nouveau dans une synagogue ; il y avait là un homme qui avait la main paralysée. 2 Ils observaient Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat ; c’était pour l’accuser. 3 Jésus dit à l’homme qui avait la main paralysée : « Lève-toi ! viens au milieu. » 4 Et il leur dit : « Ce qui est permis le jour du sabbat, est-ce de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver un être vivant ou de le tuer ? » Mais eux se taisaient. 5 Promenant sur eux un regard de colère, navré de l’endurcissement de leur cœur, il dit à cet homme : « Etends la main. » Il l’étendit et sa main fut guérie. 6 Une fois sortis, les Pharisiens tinrent aussitôt conseil avec les Hérodiens contre Jésus sur les moyens de le faire périr.